Votre corps est plein de choses dont vous n’avez plus besoin. Voici une petite liste des vestiges persistants du corps humain. 

Même si l’appendice et les amygdales ont tous deux été considérés comme inutiles pendant un certain temps, aujourd’hui nous leur reconnaissons une valeur plus que supposée.  

La sélection naturelle, après tout, n’a aucune raison d’éliminer les traits inutiles s’ils ne présentent aucun inconvénient évolutif. 

Voici une petite liste de détails étranges et autrefois utiles à la survie humaine et que nous continuons à transporter en nous et sur nous. Fondamentalement, ces traits ont servi à un certain but évolutif à un moment donné, mais maintenant, ils semblent inutiles. Ou du moins, nous ignorons à quoi ils servent.

Il est également important de se rappeler que si une mutation se produit et persiste parce qu’elle est utile, ce n’est pas la même chose que de dire qu’elle a une raison d’exister. La raison est le hasard, à moins que l’on ne croie pas en la théorie de l’évolution. 

-La plica semi-lunaire 

Au coin interne de nos yeux, du côté le plus proche du nez, se trouve cette petite chose rose, qui s’appelle la caroncule. Rassurez-vous, absolument personne dans tout l’Univers ne connait ce mot !

À côté, se trouve la plica semi-lunaire. C’est ce qui reste d’une troisième paupière qui clignotait horizontalement. Elle offrait une protection pour nos yeux. Certains oiseaux, reptiles et poissons la possèdent toujours. 

  • Muscle long palmaire 

Nous n’avons plus besoin de nos jours de sauter de branche d’arbre en branche d’arbre. Pourtant, environ 86% d’entre nous ont encore le muscle du poignet qui nous aidait à le faire. Pour voir si vous l’avez, placez le dos de votre main sur une surface plane et touchez votre pouce avec votre petit doigt. Si vous avez un muscle qui devient visible dans votre poignet, c’est le long palmaire. Ce qui veut dire que vous pourriez très certainement sauter de branche en branche, si l’envie vous en prenez !

  • Tubercule de Darwin 

La coquille de votre oreille ressemble à un abricot sec. Et, il y a une crête dans cette structure qui est un muscle qui nous a permis, à un moment donné, de déplacer nos oreilles dans la direction de sons intéressants. Aujourd’hui, nous tournons simplement la tête. C’est moins classe, mais que voulez-vous !

  • Chair de poule 

La raison pour laquelle la chair de poule a valu la peine d’être conservée au cours de l’évolution n’est pas tout à fait claire. Mais il peut y avoir deux explications : la peur et le froid. 

Au sujet du froid, la chair de poule peut avoir aidé à emprisonner un peu de chaleur supplémentaire. 

Par rapport à la peur, elle aidait peut-être à faire dresser les poils du corps pour paraître plus grands aux prédateurs, un peu comme le chat qui hérisse ses poils et gonfle lorsqu’il est prêt à l’attaque. De nombreuses créatures exagèrent leur taille lorsqu’elles sont menacées. Peut-être, les femmes devraient-elles abandonner l’épilation pour paraître encore plus effrayantes !

  • Coccyx 

Il y a longtemps, nous avions des queues qui nous aidaient probablement à nous tenir debout. Elles étaient utiles pour se déplacer à travers les arbres. Les embryons en possèdent encore un moignon dans le ventre de leur mère. Pourtant, c’est mignon comme tout, un bébé.

  • Réflexe palmaire activé  

Vous avez probablement vu comment les bébés primates non humains s’accrochent à leurs parents pour être transportés. Nous avions l’habitude de faire cela aussi. Donc, si vous touchez la paume d’un bébé avec votre doigt ou si vous touchez la plante de son pied, le réflexe de préhension palmaire fera que la main ou le pied essaiera de se refermer autour de votre doigt ou de votre doigt. 

  • La secousse hypnique 

La « secousse alpha », réflexe incontrôlable lorsque vous tombez dans les bras de Morphée, est aussi appelée la secousse hypnique. Elle peut être reportée au temps où nous grimpions et dormions dans les arbres. L’hypothèse la plus plausible est que nos ancêtres se réveillaient brusquement pour ne pas tomber de l’arbre. 

– Les bruits stridents 

Tout le monde déteste le bruit des ongles sur un tableau noir. Il s’agit peut-être d’une réminiscence ancrée dans nos têtes. Le son est similaire à l’appel d’avertissement strident d’un chimpanzé.  

Une bouteille à la mer

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